Carnets de notes - Un monde de paysans

III. Huit villages et un hameau

Torgny, village construit sur un coteau de la vallée de la Chiers. (Torgny, Luxembourg belge)

Livre : Un monde de paysans. La basse vallée du Ton entre Vire et Chiers : Description d’un paysage et d’une société rurale.
Remarque : Les superficies sont exprimées en mètre carré ou centiare.

Saint-Mard

Le bourg de Saint-Mard voisin la ville de Virton est un des deux villages composant la commune du même nom. Au seuil de la porte principale de l’église, son altitude est 206 mètres.

Le village est situé dans la large vallée de la Vire à la jonction avec la vallée du Ton plus étroite. Il est dominé au nord par le plateau de Mageroux et la colline du Solumont, et au sud par la côte bajocienne couronnée d’une luxuriante forêt. Au-dessous de Vieux-Virton, en aval du moulin, le Ton aux eaux limpides et glacées reçoit la rivière la Vire.

La commune, ayant une superficie de 1.626 hectares 22 ares 33 centiares, est propriétaire de 441 hectares de bois communaux. La station de chemin de fer de la ligne Athus-Meuse sise sur son territoire dessert la ville de Virton. Elle est dite de Virton–Saint-Mard.

Le territoire confine au nord à Virton, à l’ouest à Dampicourt et Harnoncourt, à l’est à Latour et Ruette, et au sud au département français de la Meurthe-et-Moselle.

En dehors de l’agriculture, la première industrie à Saint-Mard était la vannerie et la culture des oseraies.

Occupation du sol en 1822 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Bois 23 1,06 % 7.230.860 52,45 %
Terre labourable 1.412 64,95 % 4.786.021 34,71 %
Prairie 394 18,12 % 1.483.446 10,76 %
Vaine 18 0,83 % 90.770 0,66 %
Pâture 4 0,18 % 76.630 0,56 %
Jardin 161 7,41 % 75.708 0,55 %
Maison 138 6,35 % 21.306 0,15 %
Verger 6 0,28 % 15.040 0,11 %
Bâtiment 17 0,78 % 6.318 0,05 %
Cimetière 1 0,05 % 960 0,01 %
Total général 2.174 100,00 % 13.787.059 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.412 78,01 % 4.786.021 96,90 %
Prairie 394 21,77 % 76.630 1,55 %
Pâture 4 0,22 % 76.630 1,55 %
Total général 1.810 100,00 % 4.939.281 100,00 %

Vieux-Virton

Vieux-Virton est un village de la commune de Saint-Mard.

Occupation du sol en 1822 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 662 70,13 % 1.868.528 70,78 %
Prairie 155 16,42 % 668.559 25,33 %
Jardin 62 6,57 % 35.638 1,35 %
Bâtiment 15 1,59 % 31.553 1,20 %
Verger 6 0,64 % 20.730 0,79 %
Maison 38 4,03 % 9.010 0,34 %
Pâture 5 0,53 % 5.120 0,19 %
Cimetière 1 0,11 % 750 0,03 %
Total général 944 100,00 % 2.639.888 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 662 80,54 % 1.868.528 73,50 %
Prairie 155 18,86 % 668.559 26,30 %
Pâture 5 0,61 % 5.120 0,20 %
Total général 822 100,00 % 2.542.207 100,00 %

Dampicourt

Le village de Dampicourt, qui comprend les quartiers de Mathon et Aigremont (deux anciennes seigneuries), est un des trois villages composant la commune du même nom. Au seuil de l’église, son altitude est 206 mètres.

La commune d’une superficie de 1.149 hectares 22 ares est divisée en trois sections : 1° Dampicourt, 2° Montquintin, 3° Couvreux. Elle comprend un écart : Beauregard. Elle est desservie par deux routes : la route de l’État reliant Virton à Montmédy (France) qui traverse le village, et la route provinciale Virton à Florenville. À la fin du 19e siècle, le village est équipé d’un arrêt du chemin de fer (ligne transfrontalière de Virton à Montmédy).

La commune est propriétaire de 80 hectares de bois communaux (1890). Elle est traversée par deux rivières : Le Ton affluent de la Chiers et la Chevratte ou Eau des Forges, venant de Meix-devant-Virton et confluant avec le Ton à hauteur du village.

Le territoire confine au nord à Villers-la-Loue, à l’est à Virton et Saint-Mard, à l’ouest au département français de la Meuse (Thonne-la-Long et Verneuil-Petit), et au sud au village d’Harnoncourt.

Expertise des communes :

« Cette commune est peu montueuse ; elle présente des coteaux en pentes douces occupés par les terres labourables entre lesquelles on remarque çà et là quelques prés ; il n’y existe qu’un seul bois de peu d’importance qui par sa faible étendue et sa mauvaise qualité en bois de fournir le combustible nécessaire aux besoins des habitants ; ils en achètent dans les communes voisines. [i]» (Expertise des communes)

« Le terrain est généralement bien cultivé ; les récoltes y sont abondantes ; les prés y sont très productifs et n’exigent que peu de soin, ils sont arrosés naturellement ; quelques-uns où l’eau suppures sont desséchés au moyen de canaux profonds. Par le même procédé, une masse de propriétés, portée sous la dénomination de pâtures, serait susceptible d’être améliorée et convertie en près ; c’est un terrain situé sur les bords du Ton, il est couvert en partie d’aulnes et repose sur un fond marécageux ; appartenant à la commune, il est entièrement négligé. [ii]»

« L’on extrait sur divers points du minerai ; la grande partie du territoire en est plus ou moins chargée. [iii]»

Occupation du sol en 1822 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.110 67,93 % 2.921.107 63,40 %
Prairie 338 20,69 % 1.016.870 22,07 %
Pâture 5 0,31 % 247.680 5,38 %
Bois 4 0,24 % 233.200 5,06 %
Vaine 5 0,31 % 94.200 2,04 %
Jardin 96 5,88 % 72.380 1,57 %
Maison 57 3,49 % 12.609 0,27 %
Bâtiment 17 1,04 % 8.189 0,18 %
Cimetière 1 0,06 % 590 0,01 %
Inculte 1 0,06 % 320 0,01 %
Total général 1.634 100,00 % 4.607.145 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.110 76,66 % 2.921.107 74,18 %
Prairie 338 23,34 % 1.016.870 25,82 %
Total général 1.448 100,00 % 3.937.977 100,00 %

Montquintin

Le village de Montquintin est l’un des seuls de la région à être bâti au sommet d’une butte-témoin, à 320 mètres d’altitude (seuil de l’église : 323 m). Il domine de 120 mètres la plaine alluviale du Ton. « Un vaste paysage ouvert entoure le village. Il se compose de culture et de prairie au périmètre souligné par des haies hautes et ponctuées de quelques arbres. Ces haies délimitent des groupes de lanières en liaison avec le rythme d’assolement.[iv] » Sous l’église, dans la pente vers Dampicourt, il existait une importante superficie de jardin.

Son « sol produit en abondance toutes les plantes céréales et un foin qui, par sa bonne qualité, est beaucoup recherché. – Des sources jaillissent de tous les côtés. [v]»

Le village concentrique est « encore très marqué, dans sa structure urbanistique, par la tripartition sociale médiévale. [vi]» Ceux qui prient, ceux qui se battent, et les paysans. Il est organisé par groupe de deux ou trois maisons, en partie jointives, autour de la ferme seigneuriale. Les ruines du château, la ferme seigneuriale avec colombier du 17e siècle, la ferme de la dîme (musée de la Vie paysanne) et l’église romane anciennement le siège d’une paroisse, qui englobait les villages de Dampicourt, Couvreux, Langlissant (quartier de Lamorteau sur la rive droite du Ton) et Écouviez, ont été classés par arrêté royal du 22 janvier 1973.

Au 19e siècle, le village, qui comprenait 24 maisons, était peuplé par 80 à 100 habitants. [vii]

Expertise des communes :

« Son territoire est montueux dans toutes les parties, il ne présente qu’un seul plateau au nord du village de Montquintin, à de très légère exception près, les prés occupent comme les terres, les monts des coteaux et ne sont arrosés que par les eaux pluviales. [viii]»

« Le terrain est généralement bien cultivé. [ix]»

« On ne récolte point de seconde herbe sur les prés, les propriétaires le font pâturer par les bestiaux, à quel effet tous sont clos fait de haies vives, fait de haies mortes, mais particulièrement de ces dernières. [x]»

Occupation du sol en 1822 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 949 69,83 % 2.180.540 73,52 %
Prairie 331 24,36 % 697.459 23,52 %
Bois 1 0,07 % 33.530 1,13 %
Jardin 35 2,58 % 21.250 0,72 %
Pâture 5 0,37 % 15.850 0,53 %
Maison 21 1,55 % 6.578 0,22 %
Bâtiment 9 0,66 % 4.671 0,16 %
Inculte 5 0,37 % 4.330 0,15 %
Cimetière 1 0,07 % 840 0,03 %
Vaine 2 0,15 % 696 0,02 %
Total général 1.359 100,00 % 2.965.744 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 949 73,85 % 2.180.540 75,35 %
Prairie 331 25,76 % 697.459 24,10 %
Pâture 5 0,39 % 15.850 0,55 %
Total général 1.285 100,00 % 2.893.849 100,00 %

Couvreux

Couvreux est un village de 35 maisons (en 1887) niché au creux d’un vallon profond compris entre deux buttes-témoins.

Occupation du sol en 1822 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.374 77,41 % 2.215.441 69,57 %
Bois 6 0,34 % 478.450 15,02 %
Prairie 252 14,20 % 397.644 12,49 %
Jardin 44 2,48 % 27.988 0,88 %
Inculte 23 1,30 % 25.950 0,81 %
Vaine 23 1,30 % 23.039 0,72 %
Pâture 4 0,23 % 7.500 0,24 %
Maison 32 1,80 % 5.359 0,17 %
Bâtiment 17 0,96 % 3.097 0,10 %
Total général 1.775 100,00 % 3.184.468 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.374 84,29 % 2.215.441 84,54 %
Prairie 252 15,46 % 397.644 15,17 %
Pâture 4 0,25 % 7.500 0,29 %
Total général 1.630 100,00 % 2.620.585 100,00 %

Lamorteau

Le village de Lamorteau est un des trois villages composant la commune du même nom. Au seuil de l’église, son altitude est 194 mètres.

À la fin du 19e siècle, la commune d’une superficie de 1.074 hectares 47 ares 55 centiares est divisée en deux sections :Lamorteau, et Harnoncourt-Rouvroy. De 1825 à 1853, Torgny a été absorbé par Lamorteau. Elle est desservie par la route de Virton à Montmédy et à la fin du 19e siècle, par une station de chemin de fer de la ligne Marbehan-Virton-Montmédy.

La commune est propriétaire de 173 hectares de bois communaux (1890).

Le village, bâti en fond de vallée, est dominé au nord par la Solire – un des trois sommets de la butte-témoin de Montquintin, et au sud par la côte bajocienne. La « vallée assez profonde est arrosée par la rivière le Ton qui sépare longitudinalement le village en deux parties. [xi]» Deux affluents s’y jettent : le ruisseau de Radru et le ruisseau du fonds des Veaux.

« De temps immémorial, la localité a été connue et citée pour la fréquence de ses inondations. Pendant la plus grande partie de l’hiver, des rues entières et tout spécialement celles dits Régnier, Anglissant étaient en état complet de submersion et les habitants, véritables insulaires, devaient, souvent en compagnie de leur bétail, chercher à l’étage un abri, encore mal assuré, contre la crue des eaux. [xii]» (Extrait de la notice de M. Leclerc, instituteur communal à Lamorteau. [1877])

Occupation du sol en 1844 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.597 68,63 % 2.914.168 51,64 %
Bois 45 1,93 % 1.736.940 30,78 %
Prairie 402 17,28 % 841.110 14,91 %
Jardin 132 5,67 % 76.521 1,36 %
Vaine 16 0,69 % 25.020 0,44 %
Verger 20 0,86 % 22.990 0,41 %
Maison 94 4,04 % 18.315 0,32 %
Pâture 2 0,09 % 3.250 0,06 %
Bâtiment 17 0,73 % 2.801 0,05 %
Vigne 2 0,09 % 1.950 0,03 %
Total général 2.327 100,00 % 5.643.065 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.597 79,81 % 2.914.168 77,53 %
Prairie 402 20,09 % 841.110 22,38 %
Pâture 2 0,10 % 3.250 0,09 %
Total général 2.001 100,00 % 3.758.528 100,00 %

Harnoncourt

Le village de Harnoncourt est bâti dans le fond d’une profonde vallée dominé d’un côté par la butte-témoin de Montquintin et de l’autre par la côte bajocienne couronnée par la vaste et giboyeuse forêt de Guéville. Son altitude est 198 mètres au seuil de l’église.

De l’est à l’ouest au fond de la plaine, serpente le Ton, « c’est une petite rivière peu profonde en été, mais qui, à la saison des pluies et des fontes de neige, sort de son lit, s’étend dans les prairies où elle dépose un limon gras et fertilisant, couvre routes et sentiers et empêche ainsi toute circulation : Lamorteau et Harnoncourt ressemblent alors à des îlots au milieu d’un grand lac. [xiii]» (Extrait de la notice de M. Gillet, instituteur communal à Harnoncourt. [1877])

Occupation du sol en 1844 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 638 61,88 % 2.021.838 52,71 %
Bois 15 1,45 % 908.260 23,68 %
Prairie 218 21,14 % 817.868 21,32 %
Jardin 73 7,08 % 44.433 1,16 %
Vaine 5 0,48 % 21.230 0,55 %
Maison 70 6,79 % 14.260 0,37 %
Verger 7 0,68 % 7.570 0,20 %
Bâtiment 5 0,48 % 458 0,01 %
Total général 1.031 100,00 % 3.835.917 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 638 74,53 % 2.021.838 71,20 %
Prairie 218 25,47 % 817.868 28,80 %
Total général 856 100,00 % 2.839.706 100,00 %

Rouvroy

Rouvroy est un hameau bâti à 600 mètres du village de Harnoncourt dont il est la paroisse.

Seuil de l’église : 202 mètres.

Occupation du sol en 1844 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 419 71,87 % 916.462 72,34 %
Prairie 130 22,30 % 322.430 25,45 %
Verger 5 0,86 % 12.320 0,97 %
Jardin 12 2,06 % 12.003 0,95 %
Maison 12 2,06 % 2.726 0,22 %
Cimetière 1 0,17 % 600 0,05 %
Bâtiment 4 0,69 % 322 0,03 %
Total général 583 100,00 % 1.266.863 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 419 76,32 % 916.462 73,97 %
Prairie 130 23,68 % 322.430 26,03 %
Total général 549 100,00 % 1.238.892 100,00 %

Torgny

Le village de Torgny est construit à mi-hauteur (235 mètres au seuil de la porte de l’église) d’un coteau de la vallée de la Chiers à l’endroit où de nombreuses fontaines émergent. Il est de type aggloméré et environné de nombreux vergers.

La commune, ayant une superficie de 574 hectares 97 ares 90 centiares, est propriétaire de 96 hectares de bois communaux. Frontalière, la commune confine aux départements français de la Meuse (Velosnes et Écouviez) et de la Meurthe-et-Moselle (Épiez-sur-Chiers). Le territoire confine au nord à la commune belge de Lamorteau.

Son finage exposé au sud-ouest est étagé. Au sommet du coteau, les pelouses sèches et les bois. À la lisière de la forêt, le sol est caillouteux et peu profond, le calcaire bajocien qui affleure y était exploité (Réserve naturelle Raymond Mayné). Le second étage qui occupe la majeure partie de la côte est réservé aux terres labourables qui entourent le village. Les sols les plus fertiles se trouvent à la mi-pente. Au pied du versant, la dépression marneuse et alluvionnairedes rivières Chiers et Ton est le domaine des prairies.

À Torgny, les terres sont plus difficiles à travailler. « Les fortes terres et les pentes arides exigent, au moins, la possession de deux chevaux pour pouvoir mener à bien, sans l’aide d’autrui, les travaux des champs. [xiv]» Heureusement, c’est une excellente terre à froment, la plus généreuse de Gaume. Les rendements annuels sont de 40 hectolitres à l’hectare. [xv] Jusqu’en 1890, on y exploitait un petit vignoble qui donnait 8 à 10 hectolitres d’un petit vin léger consommé sur place. Dans la seconde moitié du 20e siècle, trois vignobles ont été replantés.

Lorsque la frontière franco-belge n’était franchissable que par quelques villageois, Torgny était un village enclavé relié jusqu’à la Première Guerre mondiale par une seule mauvaise route à son voisin Lamorteau.

Occupation du sol en 1844 :

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.346 65,72 % 3.668.001 63,80 %
Bois 23 1,12 % 1.190.840 20,71 %
Prairie 309 15,09 % 703.906 12,24 %
Jardin 147 7,18 % 68.684 1,19 %
Vigne 23 1,12 % 38.670 0,67 %
Vaine 16 0,78 % 31.348 0,55 %
Verger 32 1,56 % 22.262 0,39 %
Maison 127 6,20 % 19.808 0,34 %
Pâture 4 0,20 % 4.500 0,08 %
Bâtiment 20 0,98 % 1.015 0,02 %
Cimetière 1 0,05 % 390 0,01 %
Total général 2.048 100,00 % 5.749.424 100,00 %

Surface Agricole Utile

Nature Nombre de parcelles cadastrales % Superficie (m²) %
Terre labourable 1.346 81,13 % 3.668.001 11,91 %
Prairie 309 18,63 % 703.906 16,08 %
Pâture 4 0,24 % 4.500 0,10 %
Total général 1.659 100,00 % 4.376.407 100,00 %

Archives consultées

Archives de l’État à Arlon (Belgique)

  1. Archives des Institutions de droit public (époque contemporaine), Cadastre du Royaume des Pays-Bas, Grand-Duché de Luxembourg, Bulletins des propriétés — 1822 : Dampicourt ; Montquintin et Couvreux ; Saint-Mard et Vieux-Virton.
  2. Archives des Institutions de droit public (époque contemporaine), Administration du cadastre, Royaume de Belgique, Bulletins des propriétés — 1844 : Commune de Lamorteau (Lamorteau, Harnoncourt, Rouvroy et Torgny).
  3. Archives des Institutions de droit public (époque contemporaine), Cadastre du Royaume des Pays-Bas, Grand-Duché de Luxembourg, Direction d’Arlon, Expertises des communes, 1819-1823 : Dampicourt ; Montquintin.

Bibliographie

  1. Architecture rurale de Wallonie. Lorraine belge. Liège, Pierre Mardaga éditeur, 1983. [p.38]
  2. CHARIOT, Constantin ; PEZZIN, Myriam. Le musée de la Vie paysanne de Montquintin. 1965-2005. In : Chronique des Musées Gaumais, numéro spécial, 2e trimestre 2005. [pp.14, 30]
  3. FOUSS, Edmond P. Sur la structure agraire et le paysage rural de Torgny. Extrait du « Pays gaumais », 9e année, 1948. Virton, Édition du Musée gaumais. [pp.8, 18-19]
  4. MINISTÈRE DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.La Lorraine Village/Paysage. Ensembles ruraux de Wallonie. 1983, Pierre Mardaga éditeur, Liège. [pp.161, 167, 169, 231]
  5. TANDEL, Émile. Les communes Luxembourgeoises. Tome III. L’arrondissement de Virton. Arlon, publications de l’Institut archéologique du Luxembourg, tome XXIII des Annales, Imprimerie F. Bruck, 1890. [pp.101-103, 105, 110, 183-185, 188, 319-322, 373-375]

Références

[i] Expertise Dampicourt, 1819-23

[ii] Expertise Dampicourt, 1819-23

[iii] Expertise Dampicourt, 1819-23

[iv] Lorraine Village/Paysage, 1983, p.161

[v] Tandel, 1890, p. 105

[vi] Chariot-Pezzin, 2005, p.30

[vii] Chariot-Pezzin, 2005, p.14 ; Tandel, 1890, p. 105

[viii] Expertise Montquintin, 1819-23

[ix] Expertise Montquintin, 1819-23

[x] Expertise Montquintin, 1819-23

[xi] Tandel, 1890, p.185

[xii] Tandel, 1890, p.185

[xiii] Tandel, 1890, p.188

[xiv] Fouss, 1948, p.18

[xv] Fouss, 1948, p.8